
“Je ne fais pas de l’art contemporain”
Cette déclaration exclut à elle seule un technicien pour apparaître dans un “salon”, “biennal” ou un musée artistique. Réfléchissons: “Je crois à la beauté et à la beauté.” Maintenant, je suis vraiment gouverné! J’ai lu comment nous avançons de l’avant du soi-disant des panneaux du grand maître à “Artist Crafts” dans une boîte de Piero Manzoni et des bananes enregistrées sur le mur par Maurizo Cattelan. Dans toutes mes lectures sur l’art contemporain, il est dit que la peinture est morte, la beauté est morte, l’esthétique est morte et différente. Selon les “lois” de l’art contemporain, l’artiste ne peut pas suivre les fils de l’histoire de l’art, de la peinture ou de la sculpture, tout comme l’ancienne maîtrise. Faire cela fait de vous un débouché dans le monde de l’art au XXe siècle, car cela fait de vous un paradoxe historique vivant.
Je suis fier d’être un peintre paria. Je ne veux pas correspondre au monde officiel de l’art qui a été poussé vers l’avant depuis les années 1960. Je crois aux émotions. Dessinez avec ces sentiments et trouvez le bonheur de le faire. Il n’y a aucune objection au fait que Maurizo Cattelaan vend une banane enregistrée sur le mur pour des millions ou vend Salvatore Garau impliquée. Ce qui me dérange profondément, c’est que le monde officiel de l’art jette quiconque ne suit pas les «règles» de l’art contemporain et il est rapporté que tout ce qui est avant 1960 est ancien.
Je dessine “bonheur” et “la joie de la vie” (condamné à nouveau). Je ne suis pas d’autres règles, mouvement technique, directions autres que mon inspiration, mon cœur. Mes peintures portent une partie de ma vie, de ma traite et de ma douleur et sont pleines de mes sentiments. Parfois, les téléspectateurs sont touchés à partir de ces sentiments et leurs émotions sont données dans mes peintures. Quand une fille de six ans me dit “j’aime vivre dans vos peintures”, il n’y a rien qui me rend plus heureux et contenu.
Benjamin Olivennez écrit dans son livre “L’Utre Art Contemporain, Vrais et Fausses Valers Édition Bernard Grasset.”Je crois toujours à la beauté, dont nous avons dit que c’est un ancien concept. Il est vrai que si je veux trouver de la valeur dans ce que je vois dans un musée d’art contemporain, je dois me débarrasser de cette vieille idée. Mais pourquoi j’accepte de le faire, quand la beauté est un besoin humain naturel, et je cherche toujours à la rechercher partout dans ma vie, chez moi, dans mon amour, dans la façon dont je porte, sur mes chemins”
L’art participe. L’art exhorte les émotions. Art appelle les discussions.

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